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Santé

Les informations ci-dessous sont fournies à titre indicatif.

Elles ne sauraient en aucun cas se soustraire aux conseils professionnels d'un médecin.

Aucun vaccin n’est obligatoire pour se rendre au Népal,

mais certains, sont recommandés.

Nous vous conseillons d’être à jour dans vos vaccins (fièvre typhoïde, DTP, Encéphalite japonaise, rage, et Hépatite A et B), particulièrement si vous comptez vous rendre dans la plaine du Teraï pendant la mousson.

Consultez votre médecin traitant avant le départ, il sera à même de vous prescrire les médicaments qui vous conviennent le mieux, et vous expliquera comment les utiliser.

Une visite de contrôle chez votre dentiste représente également une bonne mesure de prévention. Le froid, l’altitude et les variations de pression atmosphériques peuvent être causes de rages de dents, plus douloureuses que dangereuses, et qui laissent un souvenir au mieux déplaisant, et souvent évitable.

La malaria (paludisme) n’est pas, ou devrait dire, plus présente dans les collines et les montagnes népalaises. Seules quelques poches subsistent ça et là dans la plaine du Terai, plutôt dans l’extrême Ouest du pays et plus particulièrement pendant la mousson, de Juin à fin Septembre.

Le vecteur de la maladie est la femelle anophèle, un moustique présent en dessous de 1 400m, qui ne pique qu’à la tombée de la nuit. Tous les individus de cette même espèce ne sont pas porteurs de la maladie.

Le Népal est donc classé dans la zone 2 sur l’échelle de risques paludique qui en compte 3, classement recommandant un traitement médical préventif, dont l’efficacité n’est pas totale et aux effets secondaires nombreux. Consultez votre médecin.

Nous vous laissons seuls juges quant à la nécessité de suivre un traitement préventif antipaludéen en vue d’un voyage au Népal.

L’Encéphalite japonaise est en progression et s’est développée ces dernières années sur un axe Est-Ouest dans le Sous-Continent Indien (Inde, Népal, Bengladesh, Pakistan, Sri Lanka).

Le principal vecteur de cette maladie virale qui tue dans 25% des cas, est encore un moustique, la femelle Culex tritaeniorhynchus, présente dans les rizières, mais aussi près des élevages de canards et de porcs (tous deux hôtes amplificateurs virologiques), pendant la mousson, de Juin à fin Septembre. Cette femelle, tout comme l’anophèle, ne pique que la nuit.

Deux vaccins non homologués en France existent en Grande Bretagne. Ils sont disponibles au Népal et leur efficacité est estimée à deux ans:

- JE-Vax®

- IC-51 (IXIARO)

Nous vous recommandons pour votre séjour dans la plaine Gangétique du Terai:
-    De porter des vêtements légers et couvrants le soir (chemise et pantalon long).
-    D’emporter une bonne lotion anti moustique
-    D’emporter un médicament antipaludique (genre artéméther + luméfantrine ou atovaquone + proguanil ou méfloquine)
-    D’éviter les longs arrêts près de marres, d’eau stagnante, de porcheries ou d’élevages de canards.

L’eau dans les villes népalaises (et à un moindre niveau dans les villages) est en général impropre à la consommation, par des estomacs occidentaux, peu ou pas préparés!

Vous n’avez pas le temps (ni l’envie) d’être malades, et si vous ne vous préparez pas à vivre au Népal - et donc la nécessité d’acclimater vos boyaux - nous vous recommandons le plus sérieusement de ne PAS CONSOMMER d’eau si elle n’est pas préalablement bouillie (idéalement pendant 5mn).

On oublie donc les cubes de glace !! Sealed

De même, nous vous recommandons de ne pas consommer de fruits ou légumes crus, et qui n’aient pas été au préalable (et vous devez en être sûrs) lavés dans une solution décontaminante (type Iodine).

Ancienne fontaine publique réadaptée au XXIème siècle! Sous une sculpture de Shiva et Parvati assis sur Nandi le taureau sacré, une gueule de Makara (animal mythique de la culture indo-népalaise et véhicule de Ganga. Symbolise la PATIENCE, une des 6 Paramitas) offre une eau ... souvent impropre à la consommation.

FRUITS/LÉGUMES: BOUS LES, PÈLE LES OU JÈTE LES !!

Lavage des dents

La porte d’entrée préférée des microbes est … la bouche!

N’utilisez pas d’eau du robinet pour le brossage de dents, mais préférez-y une bouteille d’eau.

Mal Aigu des Montagnes (MAM)

Composition de l’air :
Azote 78% (N2) // Oxygène : 21% (O2) // Autres gaz (argon, hélium, néon, dioxyde de carbone, hydrogène) : 1%

Chaque jour, environ 14 000 litres d'air transitent par nos voies respiratoires.

Composition du sang : Globules rouges : Transporteurs de l’oxygène (25 Milliards chez un adulte)
Globules blancs : Agents de lutte contre les agressions (bactéries, allergies,…) Plaquettes : Agents principaux dans le processus de coagulation sanguine.

Quantité de sang:
7% du poids du corps, soit 4 à 5 litres chez l’adulte de taille moyenne.

Le Mal Aigu des Montagnes (MAM) est une réaction physiologique due à une mauvaise adaptation à la montée en altitude. Il représente l’un des dangers auxquels est confronté tout randonneur en Himalaya, et ce à partir de 2 500m. Un MAM mal géré ou pas reconnu à temps peut mener à la mort (24h en cas d’œdème cérébral), il est donc primordial de savoir l’identifier.

Les muscles de notre corps, notre cerveau et nos poumons ont besoin d’oxygène pour fonctionner. Cet oxygène, présent dans l’air (+/- 21%), est capté par l’action respiratoire, transmis au système sanguin par l’intermédiaire des bronchioles respiratoires, et transporté aux membres par les globules rouges.

En montant en altitude la pression atmosphérique diminue, provoquant une diminution de la quantité d’oxygène dans un même volume d’air. Attention, la composition de l’air reste sensiblement la même, c’est la pression qui diminue. On peut dire que l’on perd +/- 10% d’oxygène (dans un même volume d’air) à chaque pallier de 1 000m gravit.

Ainsi, et comparé au volume d’oxygène disponible dans un m3 d’air au niveau de la mer, à 3 000m d’altitude le volume d’oxygène sera 1 tiers inferieur.

Au Thorong La, au Kala Patar ou au passage de tout col d’altitude (+ de 5000m), le volume d’oxygène aura diminué de 50%, et il ne nous en restera plus que 25-30% au-dessus de 8 000m.

Pour s’adapter à l’hypoxie, due au gain d’altitude, et continuer d’offrir un volume d’oxygène adéquat au bon fonctionnement des membres et fonctions vitales, l’organisme va déclencher deux réactions physiologiques : Augmentation de la ventilation (respiration plus courte et plus rapide) afin de capter plus d’oxygène et augmentation de la fréquence cardiaque (accélération du rythme cardiaque) afin de le transporter plus rapidement.

Cette réaction naturelleM, plus ou moins efficace et plus ou moins bien supportée selon les randonneurs, est coûteuse pour l’organisme puisque les muscles respiratoires et cardiaques vont être davantage sollicités.
L’organisme va donc réagir (après 5 jours à 1 semaine) et s’adapter en sécrétant de l’Erythropoïétine (EPO) dont l’action sur les cellules de la moelle osseuse augmentera la production de globules rouges (hématies).
Cela permet à la ventilation et au rythme cardiaque de baisser à nouveau, sans pour autant retrouver leur rythme de base.

Prévention

  • Hydratation : Boire en quantité toutes les heures en dessous de 3 000m, toutes les demi-heures au dessus. Surveiller la couleur de l’urine (qui doit être le plus transparent possible).
  • Acclimatation : À partir de 3 000m, respecter une progression d’au maximum 500m entre deux camps. Marcher dans la journée plus haut que l’altitude du camp, ou organiser des marches d’acclimatation une fois arrivé au camp.
  • Repos : Bien dormir (8h, au chaud, confortablement) est essentiel pour une bonne acclimatation. Si possible, au dessus de 3 000m, organiser un jour de repos à chaque pallier de 1 000m.
  • Alimentation : Ajouter à chaque repas au dessus de 3 000m, de l’ail (amélioration de la circulation sanguine et nette augmentation de la fibrinolyse, processus de dissolution des caillots sanguins) et de l’oignon (réduction du risque d’œdèmes par limitation des infiltrations de liquide séreux dans les organes). Eviter l’alcool.
  • Evaluation et Acceptation : Savoir évaluer sa propre condition physique (tableau d’évaluation ci-dessous) demande une certaine habitude, mais surtout le courage de savoir s’arrêter. Une évaluation n’est jamais trop alarmiste, mieux vaut faire demi-tour et revenir une autre année, qu’être la raison d’un pèlerinage du souvenir.

Facteurs de risque (basés sur diverses études scientifiques et leurs résultats)

  • Prise d’alcool : Effet négatif sur la respiration périodique durant le sommeil, augmente l’hypoxie.
  • Prise de somnifères : Effet négatif sur la respiration périodique durant le sommeil. Apnées respiratoires et augmentation de l’hypoxie.
  • Faible réponse ventilatoire ou circulatoire à l'hypoxie: Testez-vous en environnement médical spécialisé.
  • Saturation artérielle diminuée lors d'hypoxie.
  • Le jeune âge : Les jeunes semblent plus touchés, peut-être par leur moindre respect des règles de prévention, peut-être aussi en raison de caractéristiques morphologiques du canal spinal variant en fonction de l’âge.
  • L'obésité : L’organisme récupère moins bien, se fatigue davantage et est plus enclins aux problèmes liés à l’altitude.
  • Les femmes semblent être plus touchées.
  • Le fait de souffrir d'une affection aiguë, une angine ou une grippe au moment du départ en trek.
  • Le manque de condition physique : L’organisme récupère moins bien, se fatigue davantage et est plus enclins aux problèmes liés à l’altitude.
  • Partir sans téléphone (portable ou satellite) dans une région reculée, et dans laquelle l’on peut se trouver à plus d’une journée de marche d’un moyen de communication (déclencher un « medevac » héliporté peut prendre plusieurs heures, ajoutées à la marche nécessaire pour joindre un téléphone).
  • Partir sans caisson hyperbare dans une région reculée et dans laquelle il n’y a pas de centre de soins spécialisés en haute altitude.

Tableau d'auto évalutation du Mal Aigu des Montagnes (MAM)

Symptômes

Points

Symptômes bénins :
1. grande fatigue; 2. mal de tête; 3. nausée; 4. perte d'appétit; 5. sensation de vertige; 6. insomnie.

1

Symptômes aggravés type 1 :
1. vomissements; 2. maux de tête violents ne cédant pas aux analgésiques.

2

Symptômes aggravés type 2 :
1. essoufflement anormal à l'effort; 2. toux sèche et irritante; 3. crachats rosés; 4. essoufflement même au repos; 5. rétention urinaire ; 6.Troubles de l’équilibre ; 7.Troubles de la coordination.

3

Score Degré MAM Conduite à tenir
1 à 3 points léger

analgésique Réévaluation des symptômes après repos

4 à 6 points modéré repos, médicaments (Diamox) 24 heures à la même altitude
7 points et + sévère Descente accompagnée immédiate ou  évacuation selon gravité des symptômes

Traîtement

Rien ne vaut une bonne acclimatation naturelle à l’altitude, boire beaucoup, écouter son corps et éviter les dépenses d’énergies inutiles durant les premiers jours à 3 000m. L’attention est la meilleure des alliées, ne pas hésiter à arrêter la progression, voir redescendre, en cas de doute. 

ARRÊT DE L'ASCENSION > HYDRATATION > MÉDICAMENTATION > OBSERVATION & ANALYSE DE LA SITUATION

POURSUITE DU TREK? REDESCENTE? ÉVACUATION MÉDICALE?

DIAMOX

La prise de Diamox (Acetalozamide) est un acte médical, faîtes-vous expliquer par un médecin spécialisé sa posologie et son mode d’utilisation. Ce médicament atténue les symptômes d’un mal d'altitude léger et améliore la ventilation, mais le risque d’aggravation du MAM est accentué si l’on poursuit la montée avec une acclimatation incomplète. La prise de Diamox en préventif est sujet à débat dans le monde médical.

NOUS VOUS RECOMMANDONS DE PASSER UN TEST DE RÉACTION À L’HYPOXIE, RÉALISABLE À:

Hôpital Avicennes 125, route de Stalingrad, 93000 Bobigny Tél: 01 48 95 56 31

La Pharmacie à emporter

(La liste n’est pas exhaustive, préparez la votre avec votre médecin)

Antibiotiques
  • Antibiotique ORL (type Augmentin, Amoxicicline)
  • Antibactérien urinaire (Ciprofloxacine)
  • Antibiotique à large spectre (Tetracycline)
Intestinal
  • Purification de l’eau (Hydroclonazone ou Micropur)
  • Solution de réhydratation orale (SRO): Afin de compenser la perte de sels minéraux due à la diarrhée, aux vomissements, à une hydratation insuffisante …

    On obtient un très efficace SRO en mélangeant dans un litre d’eau tiède 8 petites cuillères de sucre et une grande cuillère de sel. Le jus d’un citron apportera du goût et du potassium.

  • Plâtre intestinal (Maalox ou Smecta) ou Antispasmodique (Spasfon-Lyoc)
  • Antibactérien intestinal (Tinidazole ou Metronidazole en cas d’amibes. Ciprofloxacine en cas de giardiase)
  • Anti diarrhéique (Loperamide: Imodium, Arestal, Qualimed) en association avec Nifuroxacide type Ercefuril.
  • Anti infectieux intestinal (Nifuroxacide, type Ercefuryl), en association avec Loperamide type Imodium.
  • Anti nauséeux type mal des transports (Prinperan, Dramamine ou Motilium).
ORL
  • Gouttes nasales : Nettoyage et nez pris.
  • Collyre antiseptique (Desomedine 0,1%, sérum physiologique) : Yeux sales ou douloureux.
  • Bain buccal : Infection dentaire et buccale.
  • Anti grippal (genre Rhinofebral)
  • Pastilles pour maux de gorge
Articulaire et osseux
  • Anti-inflammatoire (Diclofenac, ou Ibuprofene : Advil): Douleur ou inflammation articulaire, tendinite.
  • Pommade anti-inflammatoire : Douleur ou inflammation articulaire, tendinite.
  • Bande adhésive (Elastoplast ou de même type) : Strapping en cas de foulure.
  • Genouillère et support de cheville à votre taille (en cas de problème articulaire antécédent),
  • Bande triangulaire.
  • Pommade ou huile apaisant les muscles et articulations douloureuses (nous recommandons vivement les huiles essentielles du Dr Valnet)
La peau: Coupures, ampoules, brûlures & coups de soleil
  • Compresses stériles : Nettoyage de blessures, coupures, égratignures.
  • Petits pansements : Toutes coupures.
  • Steristrip : Suture de petites plaies.
  • Double peau (type Comfeel): Prévention et soin des ampoules plantaires.
  • Pommade (type Biafine) : Traitement des coups de soleil et brûlure.
  • Tulle gras (type Biogaze) : Traitement des coups de soleil et brûlures.
  • Désinfectant cutané (Bétadine ou de même type) : Désinfection cutanée.
MIX ET IMPORTANT
    • Acetazolamide (Diamox): diurétique inhibiteur de l’anhydrase carbonique, en prévention ou en soin de MAM.
    • Analgésique (Aspirine, Paracétamol ou Ibuprofène): Douleurs légères à modérées. Préférez l’aspirine et l’Ibuprofène, sauf contre-indication.
    • Sédatif léger (Stilnox ou même type): A utiliser en basse altitude en cas de forte insomnie.
    • PERMETHRINE: anti puces et puces de sommiers, poux, araignées, en Spray ou en poudre.

Les malades qui voyagent devraient toujours emporter un rapport médical succinct, éventuellement en anglais, sur leurs antécédents importants, dont spécialement les allergies et sur les médicaments pris régulièrement, en particulier ceux dont l’arrêt peut être dangereux tels des antihypertenseurs, anticoagulants, antidiabétiques, stéroïdes...

Les liens utiles ...

OMS
http://www.who.int/countries/npl/fr/

FRANCE

Répertoire des CHU (Centres Hospitaliers Universitaires) de France
http://www.chu-rouen.fr/ssf/admin/centrehospitalieruniversitairerep.html

Ministère des Affaires Étrangères et Européennes http://www.diplomatie.gouv.fr/fr/conseils-aux-voyageurs_909/fiches-reflexes_12464/faire_12465/sante-vaccinations_12472/index.html

Institut Pasteur de Paris
209-211, rue de Vaugirard, 75015 Paris
Tel.: (0033) 8 90 71 08 11
http://cmip.pasteur.fr

Institut Pasteur de Lille
1, rue du professeur Calmette - BP 245 - 59019 LILLE Cedex
Tél. (0033) 3 20 87 78 00
http://www.pasteur-lille.fr/fr/accueil/index.htm

CHU Nord, Marseille
Centre de conseil aux voyageurs et de vaccination International,
Centre Antirabique, Service Des Maladies Infectieuses et Tropicales
Chemin Des Bourelys?
Marseille 13015?France?
Phone: 33 491 96 89 35?
Fax: 33 491 96 89 38?
Internet: http://www.mit.ap-hm.fr

CHU Rangueil, Toulouse
Service de parasitologie
31403 Toulouse France
Phone: (0033) 5 61 32 28 90 or 33 5 61 32 28 93?
Fax: (0033) 5 61 14 59 72?
E-mail: Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

BELGIQUE

Institut de Médecine Tropicale d’Anvers
Nationalestraat 155 – B-2000 Antwerpen - Belgique
Tél. (0032) 3 247.66.66/ 3 247.64.05
Fax: (0032) 3 216.14.31/ 3 247.64.52
Service d’urgences 24/24
Tel:(0032) 3 8213000 (demander le services de médecine tropicale)
E-mail: Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
http://www.itg.be/itg/

Répertoire des CHU (Centres Hospitaliers Universitaires) de Belgique
http://www.chu-rouen.fr/ssf/admin/centrehospitalieruniversitairerep.html

SUISSE

Répertoire des CHU (Centres Hospitaliers Universitaires) de Suisse
http://www.chu-rouen.fr/ssf/admin/centrehospitalieruniversitairerep.html

Les universités de Genève, Zurich, Bâle et Lausanne entretiennent avec l'Office fédéral de la santé une page internet (http://www.safetravel.ch/) qui vous fournira les informations nécessaires.

CANADA

http://www.chu-rouen.fr/ssf/admin/centrehospitalieruniversitairerep.html

Fondation pour la Recherche Médicale :
54, rue de Varenne, 75335 Paris Cedex 07
Tel. +33 (0)1 44 39 75 75
Fax +33 (0)1 44 39 75 86
http://www.frm.org/

Hôpital Avicennes
125, route de Stalingrad, 93000 Bobigny
Tél 01 48 95 56 31

ARPE (Association pour la Recherche en Physiologie de l’Environnement
Tel. 01 48 38 77 57
http://www.arpealtitude.org/

Encyclopédie médicale en ligne
http://www.vulgaris-medical.com/

Faculté de Médecine de Genève
http://www.unige.ch/medecine/index.html

Formulaire de renseignements de l'ambassade-2.doc

Bibliographie

  • “Médecine de l'alpinisme et des sports de montagne” de Jean-Paul Richalet, Jean-Pierre Herry (Edit. MASSON)
  • « Gso-Ba Rig-Pa, le système médical tibétain » de Fernand Meyer (1988). Presses du CNRS
  • .
  • “Introduction à la médecine tibétaine : Prévention et traitement des maladies” de Tenzin Choedrak (1996). Edit.Dangles
  • “Traité fondamental de la médecine ayurvédique” Tome 1 & 2, de Jean Papin. Edit. Almora
  • .
  • « Le grand guide Hachette de l’Homéothérapie » du Dr. A.Lockie (2001). Edit.Hachette.
  • “L'Encyclopédie Medicale Larousse Merck” (2008). Edit. Larousse.